Sur les conseils de Souhila, une version très percutante de l'infanticide par le grand chorégraphe Angelin Preljocaj :
La danse va où le théâtre ne peut plus aller : elle parvient à montrer en métaphorisant.
A ne pas regarder avant les huitres...
mardi 15 décembre 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Ca me fait penser au match de boxe de Simon dans Incendie. C'est très intense.
RépondreSupprimerOui, l'analogie est pertinente : on a ici le même recours à une théâtralité qui use du détour de la métaphore pour court-circuiter l'obscénité d'un réalisme impossible et, en même, temps, multiplier l'effet de choc de la violence.
RépondreSupprimer