jeudi 30 septembre 2010

Séance n° 3 du 30.09.10

Nous en sommes aujourd’hui à la troisième séance et nous commençons vraiment à apprivoiser le travail à venir. Comme à chaque séance nous avons commencé par faire un récapitulatif de la séance précédente où nous avons échangé nos avis et impressions afin de commencer cette séance en accord avec la dernière.

Nous avons principalement parlé du texte de L’Acte Inconnu de V. Novarina et les éléments principaux qui sont ressortis de la discussion sont les suivants :

- Nous trouvons cette œuvre particulièrement « incompréhensible », du moins pas aussi traditionnelle qu’une autre pièce de théâtre, et cela est notamment dû au langage choisi par l’auteur, soit le "novarinien" qui regroupe un grand nombre de néologismes. Cette langue à pour autre caractéristique le fait qu’elle est en fait une agglomération, une juxtaposition de mots sans connexion logique.

- Nous nous retrouvons donc face à une œuvre complexe à adapter du fait qu’elle n’ait ni intrigue, ni réelle histoire. Elle se contente de traiter de thèmes, de sujets, regroupés. De plus, nous avons fait ressortir le fait qu’il n’y a pas vraiment de « personnages » au sens propre, nous les avons donc qualifiés de « créatures » ce qui leur correspondait mieux selon nous.

- Des questions se sont donc posées à nous, à propos de l’approche que nous allions pouvoir faire de l’œuvre et de l’adaptation que nous allions pouvoir tenter. Comment apprivoiser et comment jouer cette pièce ? Comme réussir à s’approprier ce théâtre verbal formé de paroles juxtaposées ? Comment établir l’aspect visuel par rapport au texte : c’est à dire comment transformer le théâtre de la parole en représentation ? Les enjeux de la séance se sont donc orientés vers ces problématiques et nous avons travaillé dessus par la suite.

La fin de la première heure à consisté en un exercice particulièrement difficile. Nous avons tout d’abord commencé par de la « sillywalks » qui est extrait de sketchs des Monty Pythons et qui consiste à inventer une démarche la plus déformée et étrange possible. Cela nous a permis d’avoir une première approche du « bizarre » et d’inventer un mouvement qui, peut-être, pourrait servir d’accompagnement, ou encore de « représentation » au texte de Novarina. Puis nous avons eu à nous glisser dans la peau de différents animaux, toujours dans la même optique à mon avis, nous avons eu à nous transformer en poule, en chien et en poisson. Cela nous forçait à nous abandonner totalement, à ne pas être dans l’imitation mais dans le personnage de l’animal en question. Cela nous aide à préparer l’aspect étrange et biscornu, parfois très animal du texte de L’Acte Inconnu puisque nous allons devoir l’aborder de manière bête et élémentaire.

Durant la seconde heure nous sommes passées les unes après les autres sur le plateau et avons récité un extrait du texte propre à chacune. Nous devions nous positionner dans le texte, à l’intérieur de celui-ci, sans tenter de le comprendre, sans le juger. Juste le réciter avec profondeur et concentration en s’imprégnant au maximum de la ponctuation et du rythme. Sans interpréter nous nous sommes amusés à accompagner le texte de mouvements très étranges en utilisant un objet sorti de tout contexte, comme un tabouret par exemple. Le professeur s’est prêté à la démonstration sur quasiment chacune des interventions et le résultat (très drôle) nous a menées à une approche plus large et moins focalisée sur les mots. Nous avons réussi à nous détacher de l’obsession et la difficulté du texte pour avancer sur le terrain de l’interprétation.

C’est exactement ce sur quoi nous avons poursuivi la séance, nous sommes passées dans l’ordre de nos extraits, et avons présenté nos textes comme si nous étions des "machines à parole". En fond, quelques élèves devaient accompagner le texte de mouvements. Nous avons eu à ce moment là la véritable occasion de lier le mouvement corporel au texte, en groupe. C'était particulièrement intéressant d'être en improvisation sur quelque chose que l'on ne comprenait pas forcément. C'est d'ailleurs ce qui à motivé la séance de A à Z, je veux dire par là que nous avons passé trois heures à improviser, à se lancer dans un jeu de plateau sur des supports textuels ou sur des sujets inconnus, ou encore incompréhensibles. La confiance que le groupe a acquis nous permet d'avancer de façon très intéressante. Je pense même que cette séance est parvenue à nous rassurer sur la pièce, qui nous paraissait quelque peu inabordable auparavant.

Jane Roussel.

samedi 25 septembre 2010

Quelques musiques inspirantes...

C'est peut être un chouilla prématuré (carrément hors de contexte même :D), mais je vous donne des liens vers certains morceaux qui m'ont fait rêver des oeuvres qu'on va présenter en fin d'année.

Pour Agamemnon :
http://www.deezer.com/listen-4828155 une musique douce et solenelle, au début surtout (jusqu'à 1'40'') qui me fait penser à l'aube d'un jour qui bouleversera tout.
http://www.deezer.com/listen-3048121 c'est extrait d'un film d'horreur, OK :) mais c'est un morceau qui me donne des frisson par sa beauté, et elle pourrait être utilisée si jamais on représente l'assassinat d'Agamemnon et de Cassandre (écoutez surtout de 1'20'' à 3'00'')
Pour L'Illusion comique :
http://www.deezer.com/listen-1668768 déja publiée sur Facebook, je la remet pour ceux et celles qui n'auraient pas pu l'écouter. Etant donné que c'est une oeuvre baroque, et que ce morceau est baroque (il est aussi très beau et gai à mon goût), je l'ai trouvé sympa et dans le contexte.

Après, on ne se servira peut être pas de ces morceaux (si musique il y a dans notre spectacle), mais j'ai voulu vous les faire partager. Bon week end !

lundi 20 septembre 2010

Visages de Matamore


Pour préparer la séance de mercredi consacrée à Matamore, voici plusieurs documents iconographiques, extraits de la brochure ou d'autres sources, qu'il serait bon d'examiner, d'imprimer et d'analyser.
Six photographies attestant des partis pris contrastés de metteurs en scène (Louis Jouvet, Georges Wilson, Alain Bézu, Brigitte Jaques-Wajman, Frédéric Fisbach, Giorgio Strelher)













Quatre gravures représentant le rôle type du Capitan (gravures de Dionisio Minaggio extraite de Bestiario barocco 1618 et de Maurice Sand extraite deMasques et bouffons 1860) ou le Matamore deL'Illusion comique tel qu'il était représenté au XVII (gravures de Wolf et lithographie représentant l'acteur de la troupe du Marais, Bellemore dans le rôle que lui a écrit Corneille).




















jeudi 16 septembre 2010

Séance n°2 du 16 septembre 2010

En ce qui concerne la séance pratique de notre option théâtrale du jeudi 24 Septembre, les chose que nous avons faites ont été très diversifiées. En effet, en première heure nous avons relaté le premier journal de bord écrit par Agnès et Marine. Toute l'heure y a été consacrée, car, en en reparlant plus profondément, chacune se rendait compte que ses impressions étaient très souvent différentes de celles des autres.

Ensuite, nous nous sommes mises en cercle afin de relâcher toutes les parties du corps en fermant les yeux. En commençant de la tête aux pieds sans ne jamais s'arrêter. A la fin, notre corps en entier restait en mouvement désordonnés.

Une fois cet exercice terminé, il a fallut « se laisser porter » telle une marionnette, un pantin de bois. Un membre donné au hasard par M. Dieudonné nous parvenait et nous devions essayer de nous sentir tirer par celui ci, la jambe par exemple, le bras, le genoux, allant même jusqu'à la tête.

Pour finir, nous avons consacré la dernière heure à la « lecture » de la première partie de Novarina. Nous étions éparpillées dans la salle, tout en se déplaçant de manière libre avec pour chacune d'entre nous un numéros bien précis attribué en début d'heure. Nous devions une à une prendre la parole et lire, suivant notre numéro, notre réplique correspondante. Cela sans y attribuer la moindre signification au niveau des rôles des personnages de la pièce etc... Contrairement aux autres exercices éxecutés durant cette séance, celui-ci impliquait plus la voix que le corps, même si il pouvait aussi être un appui pour la façon dont on souhaitait dire notre texte.

Pour ma part, c'est ce travail qui m'a le plus marqué car je me suis rendue compte qu'au fil du temps, je me laissais aller, porter, par le texte sans forcément chercher un sens concret, mais plutôt en découvrant chaque mot avec plaisir, un peu comme ce que nous avions fait la semaine passée avec l'élocution de notre nom et prénom. Je m'amusais à prendre des intonations différentes chaque fois, mais j'avoue qu'au bout d'un certain temps j'ai eu du mal à ne pas m'indentifier à un seul et même personnage et donc à modifier ma façon de dire le texte à chaque prise de parole. Je pense que le fait de faire ceci m'a apporté notamment une totale décontraction allant souvent même jusqu'à des rires incontrôlés.

samedi 11 septembre 2010

Le théâtre au début du XVIIème siècle

En écho au cours sur la théâtralité des années 1630 en France, quelques documents iconographiques.
Frontispice du Jeu royal de la paume par Charles Hulpeau, Paris, 1632
A la fin du XVIème, le Parlement de Rouen autorise les troupes de comédiens ambulants à jouer dans les salles de jeu de paume. On édifiait une scène devant le mur du fond. Le gros du public se massait debout sur le terrain de jeu, "le parterre" et les privilégiés s'asseyaient dans les loges sur le côté. Cette sédentarisation des troupes ambulantes n'est pas sans conséquence sur l'esthétique et la dramaturgie théâtrales : la salle de jeu de paume, parallélépipède étroit, "enferme" la représentation dans une boîte et commande la mue illusionniste de la représentation. Bientôt, toute la scène sera pensée comme boîte à illusion, et le décor sera construit selon les principes de la perspective, emboîtement de toiles et de panneaux qui donnent l'illusion de la profondeur, du lointain.
Représentation de Tabarin et son maître sur la toute nouvelle Place Dauphine, extrait de Théâtre de Tabarin, gravures d'Abraham Bosse, début XVII
Dès le début du XVIIème, on peut voir sur les places publiques et sur le Pont-Neuf à Paris, des tréteaux où les acteurs-charlatans appâtent le client en jouant des farces et de petites saynètes pour lui vendre ensuite onguents et remèdes. Corneille a assisté à des représentations de ce genre à Rouen, deuxième ville de théâtre de France au XVIIè. S'il en est un héritier, comme
du théâtre cruel de tréteaux qui se développe au début du siècle, c'est aussi contre cette théâtralité de tréteaux, en partie improvisée, volontiers farcesque et spectaculaire, exubérante et populaire qu'il va inventer un théâtre littéraire et régulier. L'Illusion comique est une oeuvre de transition : si l'héritage d'une théâtralité populaire y est encore sensible, ne serait-ce qu'à travers le personnage de Matamore, si la pièce ne se refuse pas les scènes spectaculaires (duel, meurtre, suicide), si la pièce demeure un "monstre d'extravagance", l'on sent déjà et aussi une autre voie se dégager, plus policée et plus respectable : elle est aussi éloge du (nouveau) théâtre à venir.

Dans le tout nouveau Palais-Cardinal qu'il vient de faire construire, Richelieu, a prévu un théâtre : il y fait donner le 14 janvier 1641c Mirame, une tragi-comédie de Desmarets de Saint-Sorlin en présence de la famille royale : de droite à gauche, Richelieu, Louis XIII, la reine Anne d'autriche et les enfants royaux, dont le jeune Louis, tant attendu qu'on l'appelle Dieudonné (sic), futur Louis XIV.
Au XVII, le théâtre devient aussi affaire politique : sous l'instigation de Richelieu, puis de Mazarin, les auteurs dramatiques sont pensionnés, anoblis, académisés, bref mis sous contrôle. Il s'agit de fêter et d'honorer le régime absolutiste en inventant un art digne de son rang et de sa puissance. C'est l'invention du classicisme. Corneille saura faire ce qu'il faut pour être dans les petits papiers des puissants. Il saura aussi assagir et discipliner sa dramaturgie pour l'adapter à l'empire du classicisme.

Portrait de Pierre Corneille par François Sicre, vers 1680
C'est le Corneille arrivé, emperruqué, empâté, académicien éminent, l'auteur consacré d'une oeuvre colossale parue en trois volumes précédés chacun d'un Discours sur le poème dramatique dont le frontispice dresse la statue éternelle pour la postérité. Le jeune Corneille fougueux et ironique, mordant et audacieux de l'Illusion comique a laissé place à la statue du commandeur du Poète dramatique couronné par les Muses et pour qui sonnent et résonnent les trompettes de la gloire.
Frontispice de l'édition du Théâtre complet de Corneille, 1660, supervisée par le maître

jeudi 9 septembre 2010

JDB 1ère séance

J'ai beaucoup apprécié l'exercice des prénoms en troisième heure; nous devions faire un son avec les lettres de notre prénom puis de notre nom de famille. Au fur et à mesure que l'on disait les lettres, elles s'assemblaient et pouvaient former un mot, et dans ce cas là on pouvait « mimer » le mot obtenu. J'ai trouvé cela très intéressant car il y avait souvent un réel investissement du corps, les mots traversaient le corps.

Quand les autres passaient je m'imaginais ce qu'elles pouvaient dire et/ou faire, mais elles inventaient autre chose, qui était tout aussi drôle. Il est vrai que nous avons beaucoup ri pendant l'exercice.

Avant mon passage j'avais quelques idées mais une fois sur scène je ne les ai pas utilisées; j'inventais au fur et à mesure que les sons venaient.

Cet exercice m'a mise en confiance, ce n'était pas évident de passer dans les premières dans cette improvisation, mais j'ai pu constater que les autres ont beaucoup ri, j'ai été très à l'aise.

Agnès Pérez

Séance n°1 du 09 septembre 2010


En première heure de l'année en théâtre nous avons fait un point sur l'organisation et la création du journal de bord. En voici un résumé:
Faire un compte rendu synthétique de la semaine dernière.
Faire une analyse subjective (une ou plusieurs élèves) de ce qui s'est passé;
Développer une expérience particulière.
Le titre sera de cette forme: séance n°1 du 09 septembre 2010 pour publication sur le blog.
Ecrire les consignes des exercices donnés.
On peut ajouter un journal de bord créatif (proposition d'idées de costumes, musiques ...).
Nous devons aussi ajouter un ou plusieurs extraits des analyses de spectacle.
De plus nous avons parlé du projet de la représentation des trois œuvres en fin d'année:
Dans L'Illusion comique: nous allons écarter les péripéties amoureuses, le personnage de Clindor et nous concentrer plutôt sur le personnage de Matamore.
Dans Agamemnon: nous n'allons pas traiter la question du chœur, mais nous allons travailler plus sur les personnages d’Agamemnon de Clytemnestre et Cassandre, sur la guerre et la vengeance...
Dans L'Acte inconnu: nous traiterons les première et quatrième sections.
Nous allons devoir trouver des liens entre ces trois œuvres pour pouvoir les jouer en inventant une forme cohérente dramaturgiquement qui mêle les trois. (Par exemple: il pourrait y avoir un lien entre Matamore et Agamemnon, guerriers tous les deux)...

En deuxième heure nous avons travaillé sur la lenteur:
Nous avons commencé avec un exercice de détente qui avait pour objet de nous relaxer: par binôme, l'une agenouillée exerce des pressions tout le long du corps sur l'autre, allongée. La "masseuse" étire très délicatement les cervicales et les jambes de sa partenaire. Les impressions des élèves: "je me sens comme sur un nuage», "donne l'impression que l'âme se vide», "j'étais en symbiose avec le sol», " sentiment d'être anesthésiée" ... Mais l'exercice a aussi provoqué l'effet inverse chez une des élèves, elle se crispait à chaque pression.
Ensuite nous avons fait des déambulations. La consigne était d'abord de marcher dans une extrême lenteur. Lorsqu'on croisait quelqu'un on devait fabriquer une sphère qui semblait très fragile. Ensuite toujours très lentement, chacune déposait sa sphère au centre du plateau.
Enfin nous devions écrire notre prénom avec le corps et recommencer avec le son correspondant à la lettre que l'on dessinait sur le sol.

En troisième heure nous avons travaillé sur nos noms: L'exercice consistait à découvrir ce que pouvait révéler notre nom. Il fallait épeler notre prénom puis notre nom de famille en produisant un son correspondant à chaque lettre de notre nom. Ces sons pouvaient être associés à des gestes toujours correspondant à la lettre.
Marine Israël et Agnès Pérez

L’exercice du massage à été très relaxante pour ma part. Ma partenaire, Nataly, qui massait la première a très bien réalisé l’exercice. Les pressions qu’elle exerçait me faisaient l’impression d’un chat qui tricote tout le long de mon corps, (sans les griffes bien sûr). Au début de l’exercice le contact était étrange, on ne se fait pas souvent masser comme ça. Les pressions bien qu’elles soient assez prononcées étaient très agréables. La partie que j’ai préférée et le passage où elle a délicatement porté ma tête, un soulagement pour les cervicales ! J’ai alors ressenti comme des frissons qui déferlaient dans tout mon corps : une sensation très agréable ! En ce qui concerne le passage où elle me soulevait les jambes j’ai moins apprécié, mais ceci en comparaison avec le passage précédent. Une fois fini, ce fut à mon tour d’exercer sur Nataly. J’avais peur de mal faire je voulais qu’elle ressente l’exercice comme je l’avais ressentie je m’appliquais donc à exercer les pressions sans interrompre le contact entre mes mains et son corps. C’est étrange de palper quelqu’un de cette manière mais il est plus facile je pense de passer en deuxième une fois que l’on sait ce que ça fait. Une fois arrivé derrière sa tête j’ai eu du mal à placer mes doigts correctement. Une tête pèse très lourd, j’ai donc eu du mal à la soulever, mes doigts décollaient à peine du sol. C’est impressionnant d’avoir la tête de sa partenaire entre les mains, en effet on constate la fragilité de cette partie du corps. Une minute plus tard, je reposais le plus délicatement possible la tête de ma partenaire au sol pour continuer les petites pressions afin de revenir jusqu'à ses pieds. La tâche n’était pas simple non plus, j’eu du mal une fois de plus à positionner mes doigts sous ses chevilles pour avoir la meilleure prise possible. J’ai donc soulevé ses jambes délicatement à une hauteur d’un peu près 60 cm du sol. Le plus dur était de rester en place un moment, les jambes aussi sont lourdes. Lorsque mes muscles ne me le permettaient plus je suis redescendue le plus lentement possible. Nataly ne devait pas savoir à quel moment ses pieds toucheraient le sol. Enfin je déposais les pieds de ma partenaire. Un soulagement car cet exercice ne le paraît pas comme ça mais est assez physique. L’exercice est très relaxant pour le massé et demande de la concentration pour le masseur, il faut faire attention à ne pas faire mal tout en respectant l’exercice et son partenaire. Le rôle du massé demande également de la concentration car il faut faire le vide contrôler sa respiration tout en savourant les bienfaits de l’exercice. L’exercice a eu pour but de prendre conscience de son corps et de celui de son partenaire de savoir relâcher son corps et se laisser manipuler par notre partenaire tout en restant concentré.
Marine Israel

jeudi 2 septembre 2010

JOURNAL DE BORD

Voici le planning mis au point jeudi dernier. J'ai inscrit d'office Camille à trois séances et j'ai déplacé Cynthia du 10 février (où il y avait trois contributrices) au 21 oct (où il n'y avait personne).
Tenez-vous y.
Quand vous publiez sur le blog : aérez la mise en page (on peut aussi insérer des images), vérifiez l'orthographe, rédigez soigneusement et clairement. Et surtout, mettez "jdb" dans le libellé et titrez comme convenu.
Et n'hésitez pas à commenter sur le blog quand vous n'êtes pas la diariste du jour.
Bon courage !
L'exercice fait régulièrement peut devenir un plaisir... si si je vous assure !

TL 10 11 PLANNING JOURNAL DE BORD

Séance 1 9 sept Marine Agnès

Séance 2 16 sept Elodie

Séance 3 23 sept Margot Cynthia

Séance 4 30 sept Jane

Séance 5 7 oct Anastasia Valentine

Séance 6 14 oct Camille

Séance 7 21 oct Cynthia

Séance 8 4 nov Charlène Marine

Séance 9 18 nov Nataly

Séance 10 25 nov Laurine

Séance 11 2 déc Morgane Assia

Séance 12 9 déc Alice

Séance 13 16 déc Margot Clémence

Séance 14 6 jan Jane Agnès

Séance 15 13 jan Amanda

Séance 16 20 jan Anastasia Camille

Séance 17 27 jan Nataly Laurine

Séance 18 3 fév Charlène

Séance 19 10 fév Alice Elodie

Séance 20 3 mars Clémence Marine

Séance 21 10 mars Amanda Cynthia

Séance 22 17 mars Jane Agnès

Séance 23 24 mars Morgane Assia

Séance 24 31 mars Valentine Elodie

Séance 25 7 avril Laurine Camille

Séance 26 28 avril Charlène Clémence

Séance 27 5 mai Alice

Séance 28 12 mai Nataly Valentine

Séance 29 19 mai Anastasia

Séance 30 26 mai Amanda

Séance 31 2 juin Margot Assia